Je ne fais que passer, le temps de rien.

La ballade du mois de mai.

Les hauts murs du couloir du froid 01:42. Le réveil est lourd et glacé, je reste dans mon lit, contemplant mes ombres rêvées. J'avoue ne pas me battre et la réalité me rattrape un peu. Et elle me regarde droit dans les yeux. A faire semblant de toujours aller. L'instant. Même si elle veux toujours avoir raison, et que les autres ont tort dans le fond. Elle le sait et elle rit. Et fuir le désordre de ses sentiments. Je rougis. Dans l'ivresse tout est mieux qu'avant. Et sinon ou s'en vont les avions ? Petite garce qui ne laisse rien en surface, se cachant dans des silences comme une petite fille. Et quand je pleure je dis que je ris. J'attends les beaux jours.